RSS SyndicationTwitterFacebookFeedBurnerNetVibes
Rechercher
Thème : CCGTN
Le Figaro interviewe une journaliste que les « Free Ouïghours ! », instruits par Le Monde disaient inventée par la Chine.

Ouïghours : catastrophe éditoriale pour "Le Monde" et les experts pacsés avec l’OTAN.

Jacques-Marie BOURGET

Sous le pseudonyme de Laurène Beaumond, une journaliste française qui a vécu 7 ans au Xinjiang, et s'est mariée là-bas, a publié une tribune sur le site de CGTN, la télévision chinoise. Sacrilège puisque le témoin contredit tous les propagandistes, ceux qui ignorent même où se trouve Ürümqi. La contre offensive de l'armada, affirmant que la journaliste n' n’existe pas, va sombrer. Ce qui nous donne une histoire drôle et une belle leçon de presse.

Le 28 mars, sous la signature de Laurène Beaumond, le site de la télévision chinoise CGTN publie une tribune intitulée « Mon Xinjiang : halte à la tyrannie des fake news ». Et le media précise que l’auteur est « une journaliste indépendante basée en France ». En voilà assez pour crier « au feu les pompiers », et alerter tous les propagateurs de certitudes sur le Xinjiang et la Chine. Le Monde, le quotidien qui n’écrit que la vérité, va tout de suite tenter de nous convaincre que cette journaliste n’existe pas, qu’elle est une invention de la propagande chinoise. Mais le fantasme du Monde va crever comme un chien au fil de l’eau, comme une vulgaire « fake news ». Un fausse nouvelle dans Le Monde ? Impossible. Aucun des sicaires, mobilisés pour attaquer la Chine a tout prix, n’a jamais mis le pied dans cette vaste contrée peuplée de multiples ethnies. Mais cela ne compte pas : s’informer peut vous déformer. Tout propos sur les Ouïghours n’ayant pas reçu le chrême de Glucksmann, BHL ou Clémentine Autain (grande (...) Lire la suite »
13 
L’article de la journaliste qui n’existe pas, selon Le Monde, suivi d’une déclaration de CGTN

« Mon » Xinjiang : halte à la tyrannie des fake news

Laurène BEAUMOND

Note de l’éditeur (CGTN) : Journaliste indépendante basée en France, doublement diplômée d’histoire de l’art et d’archéologie à l’université de la Sorbonne-IV et détentrice d’un Master de journalisme, Laurène Beaumond a travaillé dans différentes rédactions parisiennes avant de poser ses valises à Beijing où elle a vécu presque 7 ans.

L’article reflète les opinions de l’auteur, et pas nécessairement celles de CGTN Français.

Le monde serait-il devenu fou ? « Camps de concentration », « stérilisation des femmes », « travail forcé », « effacement culturel », « génocide »... D'où sortent ces termes qui renvoient aux heures les plus sombres de l'histoire de l'Humanité ? Qu'est-ce donc cette parodie de procès que l'on fait à la Chine à distance, sans aucune preuve concrète, sans aucun témoignage valable, par des individus qui n'ont jamais mis le pied dans cette région du monde – la région autonome ouïgoure du Xinjiang en Chine - dont il est certain que peu de personnes avaient entendu parler avant le début de cette année ? D'où viennent ces nouveaux pasionarias de la « cause ouïgoure », cette ethnie dont le sort ne préoccupait personne jusqu'ici ? Et les grandes marques étrangères qui ont annoncé arrêter d'utiliser le coton récolté dans le Xinjiang pour fabriquer leurs vêtements sont la goutte qui ont fait déborder le vase. Ces attaques donnent une bien piètre image d'un pays qui est sous le feu roulant de toutes les critiques possibles et (...) Lire la suite »
10